Interviews de Lisa Blumen :
La Peau de l’ours·e
9e Art. Le podcast de la Cité Internationale de la Bande Dessinée et de l’Image d’Angoulême
France Inter
Dans ma bulle - Avoir À Lire
« Des feutres à alcool de la dessinatrice s’épanche toute une gamme de roses délavés qui accentuent l’impression de faux-semblant. »
Le Monde
« Lisa Blumen tisse un thriller parano en plongeant dans le quotidien d’une influenceuse make up prise au piège de la surexposition et torturée par le regard des autres. »
Libération
« Cette très belle couverture condense bien l’intrigue : Nina, maquilleuse professionnelle, aspire à devenir une star des réseaux en tant qu’influenceuse beauté. [...] Ce livre réussit, par la fiction, à transcender le documentaire, avec cette ambiance rose bonbon, qui passe au rose rebelle, pour évoquer quelque chose de très sombre. »
France Culture, Les Midis de Culture
« [Nina] est tiraillée entre d’une part, son amour sincère pour le maquillage, la couleur, la transformation de soi et d’autre part, la pression que font peser les marques et les réseaux sociaux sur les influenceuses qui, comme elles, voudraient vouloir vivre de leur passion. »
France Culture, Le Book Club
« Dans la lumière saturée des feutres à alcool, les nuances rose chair et rose bonbon virent au rouge sang. Le jeu des cadrages démaquille les faux-semblants, taillade la couche superficielle au rythme d’un thriller à la Hitchcock. »
L’Humanité
« Remarquée pour ses récits originaux (Avant l’oubli, Astra nova), Lisa Blumen parvient dans Sangliers à donner corps à une jeune femme touchante, dont elle décrit le métier sans en occulter la part de vacuité et/ou de vanité, mais sans pour autant verser dans la condescendance. »
Télérama
« À partir de la vie d’une influenceuse fictive, la dessinatrice française livre une BD politique rose amère sur la marchandisation du corps de femmes. »
Les Inrockuptibles
« Auréolée du prix de la BD de SF 2024 pour Astra Nova, Lisa Blumen reprend ses feutres pour emballer façon bonbonnière ce thriller psychologique. Beaucoup de style dans cette réflexion sur les canons de beauté et leur marchandisation. »
Le Nouvel Obs
« Elle aborde un certain nombre de sous-thématiques à travers cet exemple de l’influenceuse beauté, elle nous parle de sexisme ordinaire et également de la violence inhérente à l’accès à la célébrité. »
Le Monde
« Avec subtilité, cet album échappe au poncif de l’influenceuse superficielle pour aborder la condition de ces femmes de manière documentée et féministe. »
France info : Culture
« Lisa Blumen installe un climat mystérieux grâce à des gros plans hyperréalistes, des jeux sur les regards et les reflets, un usage très maîtrisé de la couleur, tout en rose fluo et mauve. Un album virtuose, dont la tonalité poétique n’occulte cependant pas la gravité. »
Marie Claire
« Sangliers, c’est cette histoire de sororité, bouleversante et douce. »
La Gazette BDNET
« Lisa Blumen déjoue les jugements hâtifs et préfère explorer la complexité de ces figures féminines, qu’on moque souvent pour leur futilité supposée. […] Elle dresse un portrait sensible d’un monde qui expose, exploite, et fragilise celles et ceux qui ne sont pas en haut de l’échelle sociale. »
CQFD
« Entre critique pertinente du monde des réseaux sociaux et thriller hallucinatoire, Lisa Blumen réalise un petit bijou de mise en scène. »
Livre Hebdo
« Après avoir signé le très remarqué Astra Nova, lauréat du prix de la BD SF 2023, la dessinatrice Lisa Blumen récidive avec Sangliers, son album le plus abouti - et l’un des albums les plus marquants de l’année. »
BFMTV
« Ne pas se fier aux teintes rose pastel de la Strasbourgeoise Lisa Blumen : avec Sangliers, elle rend sensible la fragilité d’une influenceuse à succès et brocarde au passage tyrannie de l’image et sexisme ordinaire. »
Les Dernières Nouvelles d’Alsace
« Avec Sangliers, la surdouée et singulière autrice française s’empare de la figure de l’influenceuse pour démonter le sexisme systémique des réseaux sociaux. Et offrir un grand album. »
Le Vif. Focus
« Derrière la couverture du volume qui évoque l’éclat poudré d’un fond de teint, cette chronique à l’humour mordant utilise le rose à contre-emploi, pour aborder avec un trait acéré et une originalité dans le propos les travers d’un gagne-pain pas si idyllique, une fois la caméra éteinte. »
Tribune de Genève
« Pas traité en neuvième art, le sujet des influenceuses s’expose ici avec finesse, dans un découpage lent et bien construit. Avec ses feutres à l’alcool, qui donne toute sa personnalité à ses récits, l’autrice nous invite à l’empathie et la compréhension. Un grand album. »
Zoo Le Mag
« Dans une ambiance à mi-chemin entre Sofia Coppola et Lars von Trier, la tension monte. Et tout ce rose est peu à peu entaché de rouge sang, comme l’irruption d’une violence sous-jacente. Violence du sexisme ordinaire, de la réification des femmes, de l’ultralibéralisme insensible, de l’exigence de productivité… »
ActuBD
« Derrière le glamour de l’influence beauté, Lisa Blumen questionne le quotidien de ces travailleur.euse.s qui bossent pour des algorithmes plus que pour eux-mêmes, dans ce thriller psychologique aussi glaçant que futé. »
BubbleBD
« Entre thriller et parabole sur l’ère narcissique et mortifère des réseaux sociaux, Sangliers scrute avec intelligence l’air du temps, dans un jeu de regards et de miroirs multiples. »
BoDoï
« Fruit d’un travail de documentaire, Sangliers explore la face cachée du monde parfait de l’influence […] L’album met également en évidence la toxicité de certaines pratiques sur les réseaux sociaux, et la transposition en ligne de la misogynie ordinaire – insultes sexistes, stalking – qui touchent l’héroïne de cette histoire. »
aVoir-aLire
« Lisa Blumen s’attaque à un sujet éléphantesque mais le fait avec la subtilité d’une grande autrice, qualité qu’on avait déjà pu déceler lors de ses précédentes bandes dessinées où l’énormité des sujets se fondait dans l’intimité de ses héroïnes. »
DBD