Couverture de Hobo Mom

Catalogue

Hobo Mom

Par Max de Radiguès & Charles Forsman

13,50

Chemise à carreaux, veste en jean, sac sur l’épaule et casquette bien vissée sur sa tête rousse, Tasha parcourt l’Amérique et ses grands espaces. Clandestine à bord des trains de marchandises, elle vit la bohème, au rythme de ses envies et de ses rencontres, comme les Clochards célestes de Jack Kerouac.

Mais cette liberté lui coûte beaucoup et parfois, Tasha regarde en arrière. Elle songe à l’époque où elle menait une vie classique, avec Tom et leur fille Sissy. Elle doit être grande maintenant. Les trains de l’ Union Pacific passe par là-bas. C’est peut-être l’occasion...

Hobo Mom est un récit à quatre mains, exécuté à distance, des deux côtés de l’Atlantique par Max de Radiguès en Belgique et Charles Forsman aux États-Unis. Malgré l’éloignement, ils possèdent une même vision de la bande dessinée et partagent une ligne claire, épurée, expressive et intimiste ainsi qu’une affection évidente pour leurs personnages. Depuis leur rencontre en 2009 au Center for Cartoon Studies à White River Junction (USA), ils ont multiplié les projets communs via le fanzinat et l’édition. Hobo Mom a d’abord paru en italien chez Delebile dans le cadre d’une exposition qui était consacrée aux deux auteurs à Bologne en novembre 2014.

On en parle

  • août 2015
  • 64 pages - 17x21 cm
  • ISBN 978-2-39004-010-1

À propos de

Max de Radiguès écrit, dessine, publie et enseigne la bande dessinée. Il vit à Bruxelles où il partage son temps entre ses bandes dessinées jeunesses et adultes, l’école Saint-Luc Bruxelles, la maison d’édition indépendante L’employé du moi et Les éditions Sarbacane où il est directeur de collection. Certains de ses livres se retrouvent dans des sélections prestigieuses comme aux Eisner Awards ou au Festival d’Angoulême. Il arrive même qu’il gagne un prix de temps en temps…
Quand il a un peu de temps, il fait des fanzines qu’il vous envoie par la poste.

À propos de

Né en 1982, Charles Forsman a grandi à Mechanicsburg en Pennsylvanie. Après avoir abandonné l’école secondaire, il erre de petits boulots en petits boulots jusqu’à ce qu’il trouve un endroit où il se sente chez lui, le Center for Cartoon Studies, d’où il sort diplômé en 2008.

Il s’occupe d’une petite maison d’édition, Oily Comics, et continue à faire de la bande dessinée dans le Massachusetts. Avec son coup de crayon caractéristique, inspiré par Charles Schulz, il participe à la jeune garde de la bande dessinée indépendante américaine aux cotés de Sammy Harkham, Jordan Crane et Kevin Huizenga.

The End of the Fucking World, publié entre 2011 et 2013 sous forme de fanzines, est adapté en série par Jonathan Entwistle et diffusée en janvier 2018 sur Netflix. Si cette première bande dessinée le fait connaitre au plus grand nombre, sa bibliographie continue néanmoins de s’étoffer, année après année. Ses récits font la part belle aux freaks, aux misfits ainsi qu’aux adolescents qui ne rentrent pas dans le moule.

Ainsi à L’employé du moi, on pourra lire de lui : Hobo Mom, qu’il cosigne avec Max de Radiguès en 2015, Pauvre Sydney ! (2018) et Slasher (2019).

Extraits de Hobo Mom

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